Les sportifs investissent beaucoup de temps dans leur préparation physique. Pour atteindre la haute performance, plusieurs utilisent le Neurofeedback afin d’entrainer leur cerveau.

Le cerveau orchestre pour nous toute les fonctions cérébrales dont le corps aura besoin pour toute performance sportive, et cela quelque soit la discipline sportive choisie.

Cela veut dire aussi que à chaque défi et challenge, nous aurons besoin de notre plein pouvoir cérébrale :

  • Plus de concentration et d’attention
  • Plus de rapidité de traitement des informations visuelle et auditive
  • Moins de fatigue
  • Moins de stress en d’anxiété

 

Lorsqu’un sportif nous consulte pour améliorer ses performances, nous allons premièrement tenir compte du sport pratiqué, car les réseaux cérébraux à entrainer vont varier selon la discipline.

Peu importe le sport pratiqué, la capacité à bien se concentrer et rester concentré est primordiale. Le Neurofeedback est alors utilisé pour entrainer les régions et circuits du cerveau qui sont responsables de l’attention et de la concentration. Ainsi, le sportif développera une plus grande capacité à être attentif et concentré.

Certains sportifssouffriront à chaque compétition d’un niveau d’anxiété et de stress élevé ce qui amènera également des tensions musculaires, ce qui aura comme effet de réduire les temps de réaction et la précision des mouvements. Un profil cérébral anxieux aura aussi comme effet de diminuer la qualité du sommeil et parfois même provoquer de l’insomnie. L’effet d’un mauvais sommeil peut être catastrophique. Il diminue la concentration, la récupération ainsi que les temps de réaction. L’entrainement en Neurofeedback est alors utilisé pour calmer les régions hyperactives au niveau du cerveau et ainsi réduire, voire éliminer l’anxiété et améliorer le sommeil.

Lorsqu’on entraine le cerveau à l’aide du Neurofeedback, il devient plus efficace. Chez certains athlètes que nous avons entrainés en Neurofeedback, nous avons noté une amélioration des temps de réaction de plus de 30%. En d’autres mots, l’athlète était devenu 30% plus rapide à réagir !